Ma jeunesse • Son père, Tom Jedusor senior, abandonne sa mère, Merope Gaunt, avant sa naissance, lorsqu'il apprend que son épouse est une sorcière qui l'a trompé grâce à un philtre d'amour : celle-ci, en effet a cessé de lui donner le philtre car, selon Dumbledore, « elle avait dû, avec le temps se persuader qu'il l'aimait vraiment et eut pitié de lui. ». Elle accouche et va porter son enfant dans un orphelinat. Désespérée et esseulée, Merope Gaunt meurt une heure après avoir mis son fils au monde ; elle a juste le temps de dire qu'elle veut que son fils s'appelle Tom, comme son père, et Elvis, comme son grand-père. Tom Jedusor est, par le sang de sa mère, le seul descendant encore vivant de Salazar Serpentard, ce qui en fait en quelque sorte son héritier. Selon l'auteur, le fait que Voldemort ne puisse comprendre l'amour est symbolisé par le fait qu'il soit issu d'une union sans amour mais que les choses auraient pu être différentes si sa mère avait survécu, l'avait élevé et aimé. Il reste jusqu'à l'âge de onze ans dans cet orphelinat ; durant les années qu'il y passe, il effraye ses camarades en faisant pendre le lapin de l'un d'eux et en volant des objets appartenant aux autres enfants. Quand Albus Dumbledore vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, et lui annoncer qu'il est sorcier, un énorme enthousiasme s'empare de lui. Il répond avec dédain à Dumbledore qu'il savait qu'il était « quelqu'un d'exceptionnel », et fait preuve de son indépendance en déclarant qu'il préfère acheter seul ses fournitures scolaires au Chemin de Traverse. Arrivé à Poudlard, il est admis à Serpentard : le Choixpeau magique effleure à peine sa tête qu'il l'envoie à Serpentard. Jedusor ne sait pas encore à ce moment-là qu'il est l'héritier du fondateur même de cette Maison. Il séduit ses professeurs : il est studieux, consciencieux, vient d'un orphelinat et a « un don pour avoir ce qu'il veut », comme il le dit si bien dans le tome 2, Harry Potter et la Chambre des secrets. Durant les années qu'il passe à l'école de sorcellerie, il fait des recherches assidues — et inutiles — sur les origines de son père, croyant que celui-ci a été jadis élève de Poudlard et ignorant que son père n'était en fait qu'un Moldu car il pense de sa mère que « si c'était une sorcière, elle ne serait pas morte » ; il se voit obligé d'assumer que son père n'a jamais fait ses études à Poudlard et qu'il est encore moins un sorcier. Une rage naît ainsi en lui. Son âme, alors déformée par la fureur, est déjà en germe de celle du mage noir qu'il va devenir. C'est pourquoi il décide de changer de nom ; il ne veut pas porter le nom d'un « sale Moldu » qui a abandonné sa mère, Merope Gaunt. Il se met donc à effectuer des recherches sur ses origines « maternelles » et découvre que c'était en réalité sa mère qui était une sorcière, descendante directe de Salazar Serpentard. Il découvre aussi qu'il a la capacité, comme son aïeul, de parler le Fourchelang, la « Langue des Serpents » ; par la même occasion, il apprend l'existence d'une « Chambre des secrets » dans le collège, et que « seul l'héritier de Serpentard a le pouvoir d'ouvrir cette chambre ». Toutes ces révélations l'amènent, après avoir découvert tous les secrets de la Chambre, lors de sa cinquième année d'études, à ouvrir celle-ci, et ainsi libérer le Basilic en lui ordonnant en Fourchelang de traquer les élèves de Poudlard qui n'auraient pas le sang « pur » (les sang-de-bourbe) et de les tuer, le Basilic pouvant tuer d'un simple regard. Le monstre finit par tuer une élève, Mimi Geignarde. À la suite de cet incident, Jedusor, apprenant que l'école menace de fermer, fait croire au ministère de la Magie que le coupable est Rubeus Hagrid, alors élève de troisième année, en utilisant comme prétexte que Hagrid est en possession d'une acromantula, Aragog. Jedusor laisse derrière lui un journal intime qui contient entre ses pages son souvenir, afin d'assurer la perpétuité de la Chambre des secrets. Par la suite, Lucius Malefoy glisse le journal intime parmi les fournitures scolaires de Ginny Weasley qui, possédée par son « souvenir », ouvrira la Chambre et écrira des messages ensanglantés sur les murs de Poudlard. Entre sa cinquième et sa sixième année à Poudlard, il se rend au village de ses parents et tue froidement son père, Tom Jedusor senior, ainsi que ses grands-parents, et se débrouille pour que ce soit son oncle qui soit accusé de ces meurtres. Lors de sa sixième année, il demande au professeur Slughorn des informations sur les Horcruxes : un objet dans lequel on introduit une partie de son âme après avoir commis un meurtre. Le journal intime sera le premier Horcruxe de Voldemort. Ensuite, lors de sa septième année, après avoir obtenu toutes ses BUSE et tous ses ASPIC, Tom Jedusor demande le poste de professeur de Défense Contre les Forces du Mal qui lui est refusé à cause de son jeune âge. Il s'engage alors chez Barjow et Beurk où il se révèle un vendeur talentueux, au physique envoûtant. Avant de créer ses Horcruxes — action qui lui amputera l'âme et le rendra très laid —, Tom Jedusor était très beau et très charmant. Après cela personne n'entend plus parler de Tom Jedusor pendant longtemps. Puis il revient et redemande le poste de professeur de défense contre les forces du mal auprès de Dumbledore, nouvellement nommé directeur de Poudlard. Dumbledore refuse catégoriquement. Humilié et mis en colère par ce refus, Voldemort lance vraisemblablement une malédiction sur le poste convoité. Depuis ce jour, aucun professeur n'y restera plus d'un an. |
Ma vie d'Adulte • Tom Jedusor devient alors l'un des plus redoutables mages noirs en prenant définitivement le titre de Lord Voldemort. Le nom est construit par l'anagramme : « JE SUIS VOLDEMORT = TOM ELVIS JEDUSOR » (il s'est lui-même attribué le titre de Lord) ; dans la version anglaise, « I AM LORD VOLDEMORT = TOM MARVOLO RIDDLE ». Le nom Voldemort, admis comme étant un mot-valise français, est utilisé dans toutes les langues, la question de l'homonymie du mot « vol » restant ouverte.
Il est appelé par la plus grande partie de la communauté des sorciers « Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom » ou « Vous-Savez-Qui ». Il regroupe autour de lui une troupe de sorciers appelée les « Mangemorts ». Ces derniers le suivent pour diverses raisons : peur, conviction idéologique, simple intérêt, ensorcellement, ou tout simplement bêtise. Cette époque, où Voldemort est à l'apogée de son pouvoir, est certainement l'une des plus sombres pour le monde de la Magie. En effet, « Le Seigneur des Ténèbres », ainsi nommé par ses serviteurs, est sans pitié et n'hésite pas à tuer toute personne se mettant en travers de son chemin.
Severus Rogue, lui rapporte alors le début d'une prophétie : « Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié, il sera né lorsque mourra le septième mois... » N'ayant connaissance que du début de la prophétie, Voldemort recherche un enfant né à la fin du mois de juillet issu de parents sorciers et il patiente. |
Bellatrix Lestrange • Incenderat autem audaces usque ad insaniam homines ad haec, quae nefariis egere conatibus, Luscus quidam curator urbis subito visus: eosque ut heiulans baiolorum praecentor ad expediendum quod orsi sunt incitans vocibus crebris. qui haut longe postea ideo vivus exustus est.
Inter haec Orfitus praefecti potestate regebat urbem aeternam ultra modum delatae dignitatis sese efferens insolenter, vir quidem prudens et forensium negotiorum oppido gnarus, sed splendore liberalium doctrinarum minus quam nobilem decuerat institutus, quo administrante seditiones sunt concitatae graves ob inopiam vini: huius avidis usibus vulgus intentum ad motus asperos excitatur et crebros.
Accedebant enim eius asperitati, ubi inminuta vel laesa amplitudo imperii dicebatur, et iracundae suspicionum quantitati proximorum cruentae blanditiae exaggerantium incidentia et dolere inpendio simulantium, si principis periclitetur vita, a cuius salute velut filo pendere statum orbis terrarum fictis vocibus exclamabant. |
Nom Prénom • Incenderat autem audaces usque ad insaniam homines ad haec, quae nefariis egere conatibus, Luscus quidam curator urbis subito visus: eosque ut heiulans baiolorum praecentor ad expediendum quod orsi sunt incitans vocibus crebris. qui haut longe postea ideo vivus exustus est.
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Accedebant enim eius asperitati, ubi inminuta vel laesa amplitudo imperii dicebatur, et iracundae suspicionum quantitati proximorum cruentae blanditiae exaggerantium incidentia et dolere inpendio simulantium, si principis periclitetur vita, a cuius salute velut filo pendere statum orbis terrarum fictis vocibus exclamabant. |
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Inter haec Orfitus praefecti potestate regebat urbem aeternam ultra modum delatae dignitatis sese efferens insolenter, vir quidem prudens et forensium negotiorum oppido gnarus, sed splendore liberalium doctrinarum minus quam nobilem decuerat institutus, quo administrante seditiones sunt concitatae graves ob inopiam vini: huius avidis usibus vulgus intentum ad motus asperos excitatur et crebros.
Accedebant enim eius asperitati, ubi inminuta vel laesa amplitudo imperii dicebatur, et iracundae suspicionum quantitati proximorum cruentae blanditiae exaggerantium incidentia et dolere inpendio simulantium, si principis periclitetur vita, a cuius salute velut filo pendere statum orbis terrarum fictis vocibus exclamabant. |