Je sais le monde a peut-être raison
De ne pas se poser trop de questions
De continuer à vivre, de continuer à croire
Que c'n'était pas à toi de dire la fin de l'histoire

● Je te vois... ce que tu crois de moi ●

― NOM : Stormheart ― PRENOMS : Léon Raphael ― DATE DE NAISSANCE : 15 Janvier 1984 ― ORIGINES : Sang-mêlé. mère: une sorcière né-moldu; son père: sang pur. ― BAGUETTE : 24.7 cm, très raide, bois d'olivier, nerf de coeur de dragon (Boutefeu Chinois) ― PATRONUS : Condor ― ANIMAL DE COMPAGNIE : /// ― PERSONNALITE DE L'AVATAR : Francisco Lachowski ― SIGNES PARTICULIERS : Si votre personnage a des signes particuliers, n'hésitez pas. ― GROUPE SOUHAITE & ANNEE : 7 année, je ne sais pas encore trop dans quelle maison. sans doute griffondor.

● tu te caches ce que tu ne vois pas... ●

― CARACTERE :Vous voulez savoir comment j’étais avant, ou comment je suis maintenant ? Avant : j’étais un peu comme tous les mecs : j’aimais passer du temps avec mes amis pour faires des blagues plus ou moins drôle. Je portais un intérêt énorme au bien-être de ma famille. J’étais généreux, drôle, expansif… un gars bien en somme, à mes yeux. Je dois avouer que j’étais aussi têtu et un tout petit peu jaloux. J’avais toujours peur de perdre ce que j’aimais. Ce qui arriva en fin de compte… Maintenant : je suis devenue renfermé et silencieux. J’ai toujours gardé mon coté « artiste » comme dit ma mère. J’aime écrire un peu tout ce qui me passe par la tête. Je confie à mes carnets ce que je ne confierai jamais au gens. Je suis toujours très attaché à ma famille et je crois que je deviendrais fou si jamais il leur arrivait quelque chose. Lorsque quelqu’un m’agresse, je suis plutôt du genre à baisser la tête comme si je n’avais rien entendu, surtout si les insultes ne s’adressent qu’à ma personne. Je ne suis pas violent. Mais si quelqu’un dit du mal d’un de mes proches, je peux facilement devenir incontrôlable. Enfin, ce n’est arrivé qu’une fois, mais celui qui l’a fait doit encore s’en souvenir… ― PHYSIQUE :Les gens disent rarement qu’ils sont laids et idiots. C’est dans la nature humaine. Alors ne me croyez pas trop sûr de moi si je vous dis que je suis beau. Il me semble que c’est la vérité. Je suis grand. La taille exacte m’importe peu mais je dirais environ 1m80. J’ai les cheveux bruns. Je ne les trouve pas longs, mais ils ne sont pas non plus vraiment courts. Ma mère dit que je devrais passer chez le coiffeur. J’ai de grands yeux marron très foncés. Presque noir. Quand je lis ce que je viens d’écrire, je me trouve assez banale en fin de compte… je possède une musculature assez fine. Pas impressionnante, mais tout de même, elle a le mérité d’être là. Sinon, je m’habille un peu comme tout le monde. Un pantalon, une chemise. Ce n’est jamais très excentrique, je n’ai pas envie que les gens me regardent… j’ai déjà eu ma dose avec les filles, maintenant je préfère rester dans l’ombre… ― HISTOIRE : Je suis né il y a 17 printemps dans une petite famille anglaise. J’ai été élevé dans la simplicité parmi mes 5 frères et sœurs. J’étais le second de la fratrie. Nous n’étions ni riches ni pauvres, juste une famille comme les autres. Très animés compte tenu du nombre d’enfant, mais surtout très joyeuse. Je crois que je participais largement à la bonne humeur ambiante grâce à toutes mes blagues et toutes mes farces. Nous rigolions bien ! Et encore mieux après la naissance de Victoria en qui je trouvais plus qu’une sœur, une élèves avec qui faire des conneries. Puis, tout naturellement, je rentrais à Poudlard. J’en avais beaucoup rêvé. Je n’étais qu’un gamin mais je rêvais de grandir et de découvrir le monde. Comme tous les enfants en fin de compte. Je me voyais comme un grand aventurier courageux. Et le choipeaux me donna raison puisqu’il me réparti chez les griffondor. J’avais pas mal de succès auprès des filles et mon éternel sourire devait y être pour beaucoup. Mes amis étaient pour moi comme une très grande famille qui riait bruyamment à toutes mes blagues, même celles que je savais pas drôle. C’était la belle vie. Mais dans toutes les filles du château, les seules qui m’intéressaient étaient celles qui ne me regardaient pas. Et elles étaient toute une bande de jeunes serpentardes à exercer sur moi une sorte de fascination étrange. J’avais à leur égard des sentiments tout à fait contradictoire et je me forçais à penser que c’était la haine qui dominait le tout. En réalité, je crois bien que c’était tout autre chose que j’éprouvais au sujet d’Aylinn, leur « chef ». Enfin, non, j’en suis sûr à présent, mais vous le comprendrez par la suite. J’étais en quatrième année lorsqu’arriva ce qu’il convient d’appeler la « grande bataille de poudlard. C’était pour moi le moment de prouver ma valeur alors le cœur rempli d’honneur et de joie je me lançais dans la bataille. J’avais toujours éprouvé une sorte d’admiration pour tous ces soldats qui couraient à la mort en chantant et étant sûrs d’être dans le bon camp. Alors cette nuit là ce fut aux le cœur joyeux que je combattis. J’ai du tué quelques hommes. En blesser d’autres. Mais je ne m’en rendais pas vraiment compte. J’étais tout entier pris dans la bataille, mon sang bouillonnant. J’étais du côté de ceux que vous appeler communément « les gentils » et j’en étais fière. Je me demande parfois comment j’ai fait pour survivre. Toujours est-il que je rentrai au château sain et sauf. Je n’avais pas encore réalisé ce qui venait de ce passé. Ce n’est qu’en rentrant dans la grande salle et en voyant les cadavres que je compris. Cette nuit, des gens étaient morts. Mon cœur était infiniment triste. Comment avais-je pus participer à cela ? Mais le pire fut lorsque j’aperçu son corps si fin étendu inconscient. Aylinn. Elle était morte, elle aussi. Je ne savais pas de quel côté elle avait combattu. Sans doute avec les mangemorts. Mais quelle importance ? Elle était morte. Et je compris brusquement que je ne l’avais jamais hais. Jamais vraiment hais. Pourquoi avais-je si mal à l’idée que plus jamais je ne verrais ces yeux ? Que plus jamais je n’entendrais sa voix ? Parce que je l’avais aimé. Du plus profond de moi. Et que je ne l’avais jamais compris… Cette nuit changea ma vie. Je m’éloignai de mes amis et cessait peu à peu mes farces. Vicki me voyait changer avec tristesse, essayant toujours de me distraire. Mais elle n’y arrivait pas. Parfois elle m’arrachait un sourire. Parfois je faisais semblant de rire. Mais, malgré tout l’amour que j’avais pour elle, les yeux verts d’Aylinn continuaient à me hanter. J’avais pris part à cette horreur… A présent je suis devenu quelqu’un de solitaire et de renfermé. J’ai encore quelques amis, bien sûr, mais je ne me lie plus avec d’autres personnes. Et les filles qui semblaient auparavant m’aimer se sont lassées de moi, en ayant finalement assez de chercher mon regard…