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Maëlinne Aballain DATE DE NAISSANCE ;25 décembre 1978 (23 ans au compteur)NATIONALITÉ ; FrançaiseORIGINE ; sang mêléGROUPE ; Ordre Du PhénixMÉTIER ; Aurore confirméSIGNE PARTICULIER ; métamorphomageANIMAL ;//BAGUETTE ; 26 cm, bois de rose, crin de licorne. souple.SIGNE PARTICULIER ; métamorphomagePATRONUS ; licorne
DATE DE NAISSANCE ;25 décembre 1978 (23 ans au compteur)NATIONALITÉ ; FrançaiseORIGINE ; sang mêléGROUPE ; Ordre Du PhénixMÉTIER ; Aurore confirméSIGNE PARTICULIER ; métamorphomageANIMAL ;//BAGUETTE ; 26 cm, bois de rose, crin de licorne. souple.SIGNE PARTICULIER ; métamorphomagePATRONUS ; licorne
Without youMon chéri, Si tu savais comme les gens se ressemblent! Ils sont tous les mêmes et prononcent tous les mêmes mots. «il faut attendre... » mais je te le demande mon amour, attendre quoi ? Attendre de t'oublier, toi, l'homme de ma vie ? Comment serais-ce possible ? Tu es partout, toujours avec moi, toujours présent. Je sens ton odeur dans notre maison, je sens tes mains sur mon corps, je sens ta présence en moi. Chaque minute, chaque seconde qui passe tu es auprès de moi et tu veilles sur moi. Ho mon doux, mon tendre homme, comme je t'aime... Attendre quoi alors ? Attendre que la douleur passe ? Mais mon cœur saigne si fort, comment pourrait-il guérir ? Il pleur des larmes de sang et ma vie s'en va avec elles. Lorsque ton souffle a quitté tes lèvres, je me suis sentie disparaître. Car je me suis envolée avec toi. Mais alors, pourquoi suis-je encore là ? Pourquoi dois-je continuer d'avancer si tu n'es plus à mes cotés ? Je me suis perdue en chemin mon cœur, je n'ai pas sus monter jusqu'aux étoiles... Chaque nuit qui passe je voudrais te retrouver, je voudrais ne jamais me réveiller. Mais il y a ce cauchemar qui me guette, qui me hante. Je revois ce masque, cette cape. Et ton visage. Non, dis moi que tu n'étais pas comme eux. Pas ce genre d'homme qui aime tuer. Non, tu étais bon. Tu étais doux. Mais pourquoi parle-je au passé ? Tu es vivant je le sais, tu vis en moi... et puis quel importance ? A quoi rime cette notion du mal et du bien ? Je me fiche bien du monde, car je t'aime. Et il en sera ainsi pour l'éternité! Car un jour j'irai te retrouver. Je m'envolerai doucement pour aller dans notre paradis. Mais me reconnaitras-tu seulement? J'ai tant changé que parfois, tu sais, je ne reconnais même plus... tout ce que tu aimais en moi a disparu, tu l'as emporté. Cette innocence, cette insouciance. Mais cette haine qui me dévore, d'où vient-elle ? Elle est apparu en moi comme une mauvaise fleure et chaque nuit la cultive. Elle pousse chaque jour un peu plus sous l'éclat de la lune. Car quand je revois cette scène horrible, je revois son visage. Elle t'as tué mon chéri, mais je te jure que tout cela ne restera pas impuni. Elle paiera. Il faut qu'elle comprenne ce qu'elle a fait. Comment continue-t-elle à exister alors qu'elle t'as enlevé à moi ? Je la tuerai mon amour je te le promets. Et ensuite, je viendrais te rejoindre. Sans peur je m'élancerai dans le vide et j'irai te retrouver. Le sourire au lèvre, j'accueillerai la délivrance. Pour enfin me réveiller de cet horrible cauchemar qui n'a que trop duré, ce rêve maudit qui me détruit chaque jour...
The night is so long...Dim,Les jours passent et tu ne reviens toujours pas. Tu ne comprends donc pas ? Je ne suis plus rien de rien sans toi ! Je n’existe plus… je ne dors plus, je ne mange plus. Mais ce doux sommeil qui t’as engloutie refuse de me prendre moi aussi. Il se refuse à moi. Mais enfin, pourquoi ? Pourquoi ? Je ne vais plus au travail. Ça ne plait pas à Richard. Mais il ne comprend pas. Lui il a toujours Karen, ainsi que tous ces gosses. Ces foutus enfants que toi et moi n’auront jamais. Ceux dont j’ai rêvé. Ce petit garçon. Notre fils Dimitri, tu te rends compte ? Pourquoi ? Pourquoi ? Je ne veux pas continuer sans toi ! Ils disent qu’il faut tourner la page, mais moi, je ne veux pas ! Je veux juste me réveiller et te voir là, à mes côtés, dans notre lit. Je ne dors plus dedans tu sais ! Il est trop vide sans toi… ou alors, je veux m’endormir pour toujours. Et te retrouver enfin. Si tu savais comme tu me manques, tes bras, ton odeur, ton sourire, des lèvres. Mais la libération ne pourra pas se refuser à moi très longtemps. Je te promets que je viendrais bientôt te retrouver… mais je ne t’ai toujours pas vengé tu sais. Je crois bien que j’ai peur. Pourtant, cette femme est un monstre. Mais je n’ai pas de force. Je suis faible. Une pauvre femme qui se meurt sans toi. Reviens mon amour je t’en prie, tu ne peux pas me laisser ainsi. Car mon cœur saigne encore comme au premier jour…